Musique et plantes…

Depuis toute petite, l’écoute et la pratique intensive de la musique dite « classique » ont baigné mon univers quotidien pour me conduire de mes études aux Conservatoires de Paris puis de Moscou, jusqu’à l’Opéra de Paris où je travaillais comme pianiste/chef de chant.

La conscience de la puissance des vibrations m’a poussée à poursuivre mon exploration de l’incroyable potentiel d’harmonisation des vibrations: c’est donc tout naturellement que je me suis formée à plusieurs pratiques en tant que thérapeute énergéticienne (Sonothérapie/massages sonores aux bols tibétains Peter Hess; conseils en fleurs de Bach;  Maîtrise de Reiki Usui Tibet et Karuna; Soins Esséniens et Egyptiens).

J’utilise également avec bonheur les Elixirs floraux du Dr Bach, et plus spécialement le charme (« Hornbeam ») et le noyer (« Walnut ») : ces préparations transmettent l’information des plantes utilisées et agissent à travers l’eau d’arrosage pour renforcer la résilience et l’adaptabilité du vivant.

J’ai maintenant choisi d’adapter et d’appliquer ces connaissances et expérimentations au vivant et à la culture végétale, rejoignant ainsi les « musiniéristes » Jean et Dominique Thoby, en pratiquant quotidiennement cette incroyable méthode de soutien aux végétaux  entièrement respectueuse de l’environnement: interagir en musique avec les plantes, qui n’ont pas besoin de mouvoir pour recevoir et transmettre des informations, grâce à leur système de communication subtile permanente: nous ne pouvons que nous émerveiller – à la suite de Bertholon qui introduisit en 1783 l’idée de l’électroculture- de constater que les plantes ont leur propre mode d’expression, tourné vers l’extérieur. Elles peuvent absorber l’énergie d’une pièce et générer de la musique en conséquence. Il a été démontré que les vibrations harmonieuses de la musique baroque augmentaient considérablement la croissance végétale: aussi ai-je fait accorder mon piano en 432 Hz pour jouer avec bonheur des pages de Bach ou de Mozart à mes jeunes semis et plants…

 

 

De nombreux travaux en phytoneurolgie (dans la suite des découvertes du chercheur indien du XIXème siècle, Jagadis Chunder Bose, et du Professeur Emérite Marc Henry, Docteur en physique quantique, chimie et sciences des matériaux ) ainsi qu’en génodique (science initiée par le physicien des particules élémentaires Joël Sternheimer, selon lequel les ondes musicales harmoniques interagissent avec les ondes d’échelles émises par tout être vivant) confirment ce fait stupéfiant et incroyable, qui ouvre la voie à une exploration illimitée: les plantes sont sensibles aux sons et modifient leur croissance selon l’environnement vibratoire dans lequel elles évoluent. Elles peuvent également interagir les unes avec les autres et transmettre des informations via des fréquences et ondes électriques.

Grâce à des mesures mesurant l’activité électrique de la surface des feuilles d’un végétal ( via un premier capteur positionné sur une feuille ou une fleur, et un second placé dans la terre au niveau des racines ), un appareil détecte la différence de potentiel électrique entre ces deux points, enregistre l’ondulation vibratoire et la reconvertit en une gamme perceptible par l’oreille humaine. J’utilise personnellement le boitier « Bamboo », conçu par l’entreprise italienne « Musicoftheplants: on ne peut que s’émerveiller de constater que la « partition » créée par la plante évolue en fonction de son environnement immédiat: la plante réagit en direct!

Si l’on prend le temps de les écouter, les plantes, en plus de nourrir et de soigner depuis toujours l’humanité, pourront également nous aider à développer notre potentiel vibratoire… D’où selon moi l’importance fondamentale de soigner l’environnement musical dans lequel elles grandissent…